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  •  Top Mangas lus en 2023

    Quand bien même, j'ai lu beaucoup moins de mangas en 2023, ce bilan s'est fait attendre. Mais je garde mes bonnes habitudes, et même s'il sort tardivement, il est là. Si en 2022, j'avais cette impression de ne pas avoir eu beaucoup de coup de cœur, l'année 2023 n'est pas différente, mais je peux vous dire que 2023 m'a offert de bien beaux moments de lectures et les quelques coups de cœur que j'ai eus ont été immense. Les anciennes séries sont-elles toujours dans le top 10 ou les nouveautés ont-elles réussi à les dépasser ? Je vous laisse découvrir qui sont les heureux gagnants de mon top mangas lus en 2023.

     

    21. Le Jardin des Illusions

    Top Mangas lus en 2023

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    Un recueil d'histoires courtes qui dans mes souvenirs m'avait bien plu sans laisser non plus un souvenir impérissable. C'est un format qui me marque difficilement donc ça ne m'étonne pas que j'ai oublié de quoi parlait chaque récit.

     

    20. Le Perce Neige

    Top Mangas lus en 2023

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    Le Perce Neige est un manga qui me faisait depuis longtemps envie mais je n'ai pas été totalement conquise par ce titre qui m'a assez déçu sur certains points. Je savais d'avance que ça allait être une œuvre violente et ça ne me dérange pas du tout car j'aime ça, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il a cette surenchère de gore. On ne développe pas assez les personnages psychologiquement parlant alors que plusieurs se détestent et pour arriver à de telles extrémités, j'aurais bien aimé qu'on nous explique un peu plus. Finalement, l'histoire ne sort pas plus du lot que d'autres œuvres de vengeance et c'est très prévisible. Néanmoins, ça reste un manga qui se veut très prenant et qui se lit avec grande facilité à condition de ne pas être trop sensible aux scènes sanglantes.

     

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  • Semaine du Shojo 2023 : Shôjo abordant la condition féminine

    En ce mois d'avril, on se retrouve pour un rendez-vous mis en place chaque année par le Club Shōjo et dont je participe depuis quelque temps avec grand plaisir, j'ai nommé la semaine du shōjo. Elle consiste à publier, durant 7 jours, du contenu sur les shōjos et joseis et parmi cette multitude d'articles, on retrouve le fameux événement interblog qui donne la parole aux blogueurs et blogueuses.

    Le thème de l'année dernière nous demandait quelles étaient les héroïnes qui nous inspiraient le plus. Pour 2023, nous devons vous présenter un shojosei que nous adorons et qui aborde la condition féminine.

    Je ne suis pas allé chercher loin pour répondre à cette question puisque j'ai pioché dans mon top 3 de mes shōjos préférés. J'en ai parlé vaguement à travers le personnage d'Oscar en 2022, mais aujourd'hui j'ai envie de vous parler davantage de La Rose de Versailles.

    Si vous n'avez jamais lu le manga ou vu l'adaptation animée, peut-être avez-vous déjà entendu le célèbre générique français. Dans ce dernier, on nous parle de "Lady Oscar", une femme qui est "habillée comme un garçon" car son père voulait en faire "un soldat". Les explications sont très brèves et ne mettent pas en lumière les véritables raisons qui ont poussé le géniteur de l'héroïne à la forcer à exercer un métier habituellement réservé aux hommes. Je me porte du coup volontaire pour éclairer vos lanternes et vous expliquer de quelle façon le manga met en avant le thème de la condition féminine.

    La condition féminine abordée à travers une héroïne épique

    Née dans une famille qui depuis longtemps appartient à la garde royale, Oscar est le dernier enfant des De Jarjayes et surtout la dernière fille. Là où le bât blesse, c'est que le rôle de commandant de la garde royale est un métier réservé aux hommes. Mais Oscar n'en est pas un, et fatigué d'attendre la venue d'un fils, le père de l'héroïne va décider de l'élever comme un homme dans le but qu'elle reprenne le flambeau.

    Oscar n'ayant son mot à dire, comme la plupart des femmes de son époque, elle suivra les ordres de son géniteur pendant une grande partie de sa vie. Pourtant, la jeune femme aspire à d'autres choses et notamment l'amour. Car si sous ses airs de femme forte et courageuse, elle n'en reste pas moins une personne sensible qui a déjà eu l'envie de porter des habits féminins afin de plaire à l'homme qu'elle aime.

    Mais la vie sera semée d'embûches et n'ira pas forcément dans le sens d'Oscar même si elle arrivera doucement à se défaire de l'autorité de son père pour prendre son envol et suivre ses propres convictions.

    Marie-Antoinette ou quand la rose de Versailles se fane

    Si on peut croire que la Rose de Versailles désigne Oscar, ce n'est pas vraiment le cas. Dans le manga, on parle bien de Marie-Antoinette comme étant cette fleur. Ce petit bout de femme resplendissant et fascinant par sa beauté ne fera qu'attirer l'attention de nombreux personnages qui auront, pour beaucoup, des intentions peu scrupuleuses.

    Séparé très tôt de sa famille, elle sera catapultée au sein d'un château rempli de faux semblant et n'aura d'autres choix que de se comporter en véritable souveraine. Une mission lourde qui repose sur les frêles épaules d'une jeune fille qui entre à peine dans l'adolescence. Si contrairement à Oscar, du sang noble coule dans les veines de la reine de France, ce n'est pas pour autant qu'elle était libre de choisir sa voie. Elle sera confrontée à des adultes qui vont ne cesser de l'influencer pour avoir ses bonnes grâces.

    Marie-Antoinette sera toute sa vie admirée soit pour son statut, soit pour sa beauté mais rarement pour ce qu'elle est réellement. C'est donc dans un climat assez anxiogène qu'elle va devoir grandir et s'imposer. Elle n'aura que très peu de véritables amis, dont fait partie Oscar, et se réfugiera dans les bras de Axel de Fersen ou elle trouvera l'amour qu'elle n'a pas reçu de la part de son mari, le grand Louis XVI.

    Peu à peu, la rose de Versailles se fanera et connaîtra, comme vous le savez sûrement, un destin tragique puisqu'elle finira guillotinée.

    Les femmes à l'honneur dans un manga féministe

    J'aurais pu parler de nombreuses autres femmes du manga car ce dernier met en avant surtout la gent féminine et toutes sont intéressantes. Lady Oscar met en avant des femmes n'ayant pas le choix, et parfois forcées de commettre des actes assez horribles pour arriver à leur fin et espérer avoir une vie plus ou moins correcte. 

    Alors oui, la sororité n'était pas tout le temps présente à cette époque et si on peut se moquer des crêpages de chignon entre femmes de la cour, n'oublions pas qu'elles vivaient dans un monde régit par les hommes. Quoi qu'il en soit, les personnages féminins de la Rose de Versailles n'ont pas toutes eu l'opportunité d'être indépendantes, mais toutes sont fortes à leur manière et vont faire du mieux qu'elles peuvent pour trouver leur place au sein d'une société qui ne leur faisait pas de cadeaux.

     

    Voilà pour mon choix de cette année ! Je sais que de nombreuses personnes ont assez peur de se lancer dans les shojos vintages mais j'espère que mon article vous aura donné un peu plus envie de découvrir cet incroyable manga. Et si vous avez du mal avec les dessins, n'oubliez pas qu'il existe un animé très fidèle ! Sur ce, je m'arrête là et je vous invite à aller voir les articles des autres participants de cet événement :

    Le bazar de Djado
    Les Blablas de Tachan
    Le blog de l’Apprenti Otaku
    Le Blog Noissapé
    Bright Open World
    Bulle Shôjo
    Le Cabinet de Mccoy
    Chroniques d’un Vagabond
    Complément Shojo
    Docteur Pralinus
    La forêt des lectures
    Lasteve
    Les lectures du Kitsune
    La mangasserie
    Nostroblog
    Papa lecteur
    Le Passeur Lunaire
    Songe d'une nuit d'été
    Violette Scribbles

     

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  • Top Mangas lus en 2022

    Il aura pris son temps pour arriver mais voici enfin mon top mangas lus en 2022. L'année 2021 avait déjà été riche en lecture, mais 2022 l'a encore été plus car c'est exactement 399 mangas qui ont accompagné mon année. Ce qui n'était cependant pas prévu, c'est que je fasse autant de relectures car sur 399 tomes lus, 208 ont été des tomes que j'ai relues. Autant vous dire que je souhaite grandement diminuer ce nombre-là pour 2023 afin de me concentrer davantage sur les nouveautés ou les suites. Malgré ce nombre conséquent de relectures, j'ai quand même l'occasion de vous parler d'une cinquantaine de titres dans mon bilan annuel. J'ai eu l'impression d'avoir beaucoup moins de coups de coeur, mais dans l'ensemble, ce fut une très bonne année.

     

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  • J'ai préféré Blue Spring Ride à Très Cher Frère, et alors ?

     

    Cela faisait un moment que ce sujet me travaillait, et c'est suite à un vocal que j'ai eu sur discord où l'on m'a dit clairement que je risquais de me faire incendier si j'osais dire ces mots sur Twitter, que je me suis décidé à en parler. 

     

    Je ne publie jamais ce type d'article habituellement sur mon blog et pour une fois, j'avais envie de parler à cœur ouvert de plusieurs choses qui me déplaisent dans la sphère manga et des réseaux sociaux et plus exactement de twitter. Néanmoins, sur ce dernier, il aurait été impossible de poser toutes mes pensées, c'est pourquoi j'ai préféré m’exprimer à travers un article de blog. De plus, cela faisait très longtemps que je n'avais plus rien posté ici donc c’était le moment de profiter de ma motivation pour écrire enfin.

     

    Pourquoi ce titre provocateur ? Tout simplement car c'est tout à fait le genre de chose qui ferait que je pourrais me faire lyncher sur le réseau social. Mais aujourd'hui, il n'est pas juste question de parler des autres et des jugements qu’on peut avoir sur leurs goûts, même si cela va être un point essentiel de mon article. J'avais également envie de parler d’autrices et plus précisément d'autrices de mangas vintages et de la survalorisation qu’on fait d’elles.

     

    Avant de rentrer dans le vif du sujet et même si cela n'est pas la question et que je n'ai aucune obligation de me justifier, je tenais à expliquer brièvement la raison pour laquelle j’ai préféré le très critiqué Blue Spring Ride au très apprécié Très Cher Frère. Car oui le titre n'est pas seulement racoleur mais il est véridique. Blue Spring Ride a été très gros coup de cœur là où Très Cher Frère ne l’a pas été, quand bien même j'ai énormément apprécié cette lecture. 

     

    Blue Spring Ride a beaucoup de défauts et j'en suis bien consciente. Mais si j'ai aimé cette œuvre c'est parce que pour une rom-com qui se veut banale, elle a réussi à me rendre complètement accro. Kou est peut-être détestable aux yeux de beaucoup mais il n'empêche que c'est un personnage que j'ai trouvé bien développé et tout le thème du deuil qui l'entourait a été très intéressant à suivre. Je ne reviendrais pas sur le caractère du personnage en question car ce n'est pas l'objectif de l'article mais c'est loin d'être un personnage que j'ai détesté et personnellement je le voyais plus comme un adolescent paumé qui a eu des gestes et paroles maladroites. Si je dois reprocher réellement quelque chose à ce shojo, c'est que l'héroïne contrairement au héros n'est pas tant que ça développée. Toutes ses pensées tournent autour de Kou, on a l'impression qu'elle n'a aucun autre centre d'intérêt que le protagoniste, ce qui est assez triste. Outre ça, j'ai trouvé que la BD était particulièrement addictive et que le manga mettait en avant des thèmes plutôt intéressants avec une panoplie de personnages tantôt attachant tantôts détestables. Quant à la romance, même si elle traîne en longueur par moment, j'ai malgré tout beaucoup aimé la relation entre les deux personnages principaux car leurs scènes ensemble étaient intenses et tous deux apprenaient à se remettre en question. Bref, c'est un récit qui se lit très facilement et on tourne les pages à grande vitesse.

     

    Avant d'entamer le manga Très Cher Frère, j'avais pu visionner la moitié de l’anime que j'avais grandement apprécié. Quand j'ai réussi à me procurer le manga, j'ai tout de suite eu envie de mettre en pause mon visionnage pour pouvoir le lire. Malheureusement, j'ai moins aimé le manga que l’anime. La bande dessinée va extrêmement vite et bâcle le traitement de plusieurs de ses sujets qui sont des sujets quand même assez graves. On parle ici de harcèlement scolaire, de suicide, de la mort de personnages, et tous ces drames ne sont traités qu'en surface, à tel point qu'on a l'impression qu'ils n’ont aucun impact sur les personnages. Ce qui est vraiment dommage car la série d'animation prenait son temps pour justement mettre en avant la psychologie des personnages et tous leurs ressentis vis-à-vis de ce qu’ils vivaient, car ce qu'ils vivent n'est pas facile et le manga n’en donne parfois pas l'impression. Il aurait clairement mérité d'être un peu plus long pour explorer ces thèmes plus en profondeur. Alors oui, Blue Spring Ride a plein de défauts, mais lui a pris le temps de développer son sujet, là où Très Cher Frère n'a pas pris le temps d'explorer tous ces thèmes de manière aboutie.

     

    Bref, le but n’est pas de vous faire une analyse des deux oeuvres. La ou je veux en venir, c’est que ce n'est pas parce qu'une œuvre est ancienne et qu'elle est écrite par une artiste de renom qu'elle est forcément meilleure quand bien même l'artiste en question a écrit de très bons mangas. Et c'est là de base le sujet de mon article. On a tendance à trop sacraliser les autrices de mangas vintages tout simplement parce que ce sont de vieilles autrices. Il y a cette espèce de purisme autour de ces mangakas féminins qui est de plus en plus présent et qui me déplaît fortement. Combien de fois ai-je vu des gens dire que ce sont des déesses, qu'on ne méritait pas leur œuvre ? Tout ça pour quoi ? Parce qu'elles sont justes anciennes et qu'elles ont été les précurseurs et les aspirations de beaucoup de mangas ? Or tout ce qui est vieux n'est pas forcément bon. Yumi Tamura, Riyoko Ikeda, ou encore Moto Hagio ne font pas que des excellents mangas, elles peuvent aussi faire de mauvais mangas, leurs œuvres peuvent tout à fait être moins bonnes par rapport à ce qu'il y a aujourd'hui.

     

    Cela m'agace réellement qu’on passe notre temps à encenser ces autrices sous prétexte qu'elles sont à l'origine de shojo très adulés par les fans ou par les Japonais. Certaines personnes me donnent d'ailleurs vraiment l'impression que cela est juste pour ces raisons que leurs mangas sont forcément meilleurs. On met tout le temps en avant le fait que ce soit du manga vintage que ce soient des grandes autrices mais très peu souvent de vrais arguments sur la qualité de leurs oeuvres. J'aimerais qu'on arrête de les idéaliser sans cesse et de les mettre sur un piédestal et pour des motifs parfois absurdes. Elles ont eu certes un impact énorme sur la culture manga mais il faut savoir prendre un peu de recul et accepter que leurs mangas sont imparfaits. Je n'ai pas encore envie de répéter que les goûts de chacun sont subjectifs quand bien même on a envie d'être complètement objectif face à certaines œuvres. Il ne faut pas oublier qu’un défaut pour vous peut-être une qualité pour l'autre et inversement. Personne n'a le monopole du bon goût et on est tout à fait en droit de trouver meilleure une œuvre récente à une œuvre ancienne.

     

    Bien sûr, je ne mets pas tout le monde dans le même panier et je sais que certaines ont vraiment à cœur de mettre en avant certaines artistes. Je suis personnellement très contente de voir qu'on déploie autant d’énergie pour faire connaître ces autrices trop souvent mises de côté mais je trouve qu’on ne le fait pas tout le temps de la meilleure des manières. Quand je vois une personne juger les autres sous prétexte que leur autrice préférée est forcément meilleure parce que plus ancienne, car elle a pondu un monument du manga, je trouve ça juste usant. 

     

    J'ai envie que les femmes aient aussi à leur tour de la reconnaissance mais pas de cette façon-là. Je n'ai pas envie qu'elles soient mises en compétition en permanence, je n'ai pas envie qu'on les rabaisse selon leur ancienneté, je n'ai pas envie qu'on les dénigre sous prétexte qu'elles ont eu un impact beaucoup moins important que d'autres.

     

    Cela devrait être une évidence pour tout le monde et pourtant ça ne l'est toujours pas, surtout sur les réseaux sociaux. Bien sûr, cette opinion n'engage que moi et je ne remets pas en question tous les efforts qui ont été fournis par les fans pour mettre en avant les mangas féminins. J'avais juste envie de passer un coup de gueule quant à cette sacralisation que je vois de plus en plus présente et qui me gave énormément. Je ne veux pas que les femmes soient mises en avant en les glorifiant de la sorte. Bien sûr, on a tous notre façon d’exprimer notre passion et ce n'est pas cela que je juge mais certains donnent l’impression qu’on ne peut rien dire sur certaines artistes. Qu’il y a un espèce de tabou autour, qu’on ne peut pas ne pas aimer ce qu’elles font parce qu’elles sont réputées dans le milieu.

     

    Dernièrement, j'ai vu trop souvent des fans se moquer des goûts d'autres fans alors qu'ils font partie de la même communauté. J'ai vu trop fréquemment des non-amateurs de shojo être déçus, voire carrément dégoûtés de la réaction de certaines personnes.

     

    Ceci peut évidemment s'appliquer à plein de choses, mais j'avais envie de venir à cela précisément, car la communauté bienveillante qu’était celle des shojo notamment a bien changé, ou du moins une partie, et je trouve ça franchement triste. On devrait pouvoir préférer une œuvre sans qu'on remette en question nos goûts, sans qu'on remette en question notre statut de fan de mangas.

     

    Je ne parlerai pas des autres communautés car le problème est similaire et même décuplé par rapport à celui de la communauté dont je parle. Et si je voulais parler d’autrices, c’est parce que ce sont elles qui ont besoin d’être mis sur le devant de la scène. Et encore une fois, je ne mets pas tout le monde dans le même panier et même s'il y a des choses que je reproche dans cet article, je sais que certaines le font sans mauvaises pensées derrière. 

     

    J’aimerais terminer l’article sur une note positive. Je remercie vraiment toutes les personnes qui font des pieds et des mains pour valoriser de façon constructive et intéressante toutes les autrices oubliées et mises de côté volontairement par plein de monde.

     

    Aimez ce que vous voulez et n'ayez surtout pas honte d’avoir des préférences. N’ayez pas honte comme moi de préférer Blue Spring Ride à Très Cher Frère. N’ayez pas honte d’aimer un Vampire Knight à La Rose de Versailles. Juste aimez ce que vous souhaitez sans crainte, car au fond, est-ce absolument important d’avoir les mêmes goûts que les autres ? Ne lit-on pas juste pour notre propre plaisir ? Oui, il est agréable d’échanger avec les autres, mais faites-le avec des personnes qui vous respectent car n'oubliez pas qu'on a tous un vécu différent et que par conséquent certains titres nous touchent plus que d'autres, quelque soit leur qualité.

     

    Sur ce, je vais m’arrêter là, j’avais absolument le besoin de poser par écrit tout ce que je ressentais vis-à-vis de ce qui se passe sur les réseaux depuis bien deux ans. Et autant je suis ravie de certains changements, autant d’autres me dérangent vraiment. Je suis bien évidemment ouvert au débat et je comprendrais parfaitement qu’on ne partage pas le même point de vue mais j’aurai au moins dit ce que j’avais sur le coeur.

     

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